Une identité de marque, c'est comme un bon vin, elle doit éveiller les sens, raconter une histoire… et surtout, laisser un souvenir inoubliable.
En tant qu’amateur de vin rouge, je me surprends souvent à faire le parallèle entre deux mondes qui semblent éloignés : le vin et le branding. Et pourtant, plus j’utilise cette comparaison avec mes clients, plus je la trouve naturelle, presque évidente.
Un bon vin, tout comme un bon branding, ne se réalise pas en un jour. Cela demande du temps, de l’intention, de la précision et surtout, une vraie sensibilité. Voici comment je trace le parallèle entre ces deux arts de la composition :
Le terroir ou l'ADN de la marque
Un vin naît de son sol, de son climat, de son cépage. C'est ce qui le rend unique.
De la même manière, une marque forte repose sur des fondations solides : sa vision, ses valeurs, sa mission, sa personnalité… Tout ce qui façonne son identité. Avant même de parler d'identité visuelle, c'est là que tout commence.
L'étiquette pour le vin, l'identité visuelle pour la marque
Dans les rayons, chez un caviste ou sur une carte de restaurant, c’est l’étiquette qui attire le regard. Elle évoque une promesse, elle intrigue, elle donne envie. Qui n'a jamais acheté une bouteille juste pour l'étiquette ? Personnellement ça m'arrive.
Pour une marque, l’identité visuelle joue le même rôle. Que ce soit le logo, la palette de couleurs, l'univers typographique ou les différentes éléments de design qui constituent une identité visuelle… Tout doit parler au premier coup d’œil, tout doit éveiller une émotion, avant même de passer à l’achat.
C’est avec l'identité visuelle qu'on construit le premier lien avec la cible.
L'assemblage vs le storytelling
Un bon vin, c’est une composition. Un équilibre subtil entre puissance, finesse, longueur en bouche… Et derrière chaque cuvée, il y a l’histoire d’un vigneron, d’une famille, d’un savoir-faire. Maintenant, imaginez-vous chez le caviste, entrain de chercher la bouteille parfaite pour accompagner le diner de samedi soir. En face de vous, se trouve le caviste, qui se trouve être un grand orateur lorsqu'il s'agit de vous raconter l'histoire d'une bonne bouteille.
Le storytelling d’une marque, c’est pareil. Il s’agit de raconter une histoire cohérente, sincère, capable de créer une connexion émotionnelle forte avec le public. L’assemblage des mots, des valeurs et des émotions fait toute la différence.
Le vieillissement et la cohérence
Les grands vins vieillissent avec élégance. Ils s’affinent, se complexifient, tout en restant fidèles à leur origine.
Une marque doit faire de même : évoluer sans renier son essence. La cohérence est la clé de la longévité. Elle crée la confiance, la reconnaissance, l’attachement de la cible.
Un branding efficace, c’est aussi un branding qui vieillit bien.
En guise de conclusion…
La prochaine que vous dégustez un bon verre de vin, posez-vous cette question :
"Votre marque est-elle un grand cru millésimé ? Ou un vin de table qu'on a tendance à oublier aussitôt consommé ?
Une identité de marque, c'est comme un bon vin, elle doit éveiller les sens, raconter une histoire… et surtout, laisser un souvenir inoubliable.
En tant qu’amateur de vin rouge, je me surprends souvent à faire le parallèle entre deux mondes qui semblent éloignés : le vin et le branding. Et pourtant, plus j’utilise cette comparaison avec mes clients, plus je la trouve naturelle, presque évidente.
Un bon vin, tout comme un bon branding, ne se réalise pas en un jour. Cela demande du temps, de l’intention, de la précision et surtout, une vraie sensibilité. Voici comment je trace le parallèle entre ces deux arts de la composition :
Le terroir ou l'ADN de la marque
Un vin naît de son sol, de son climat, de son cépage. C'est ce qui le rend unique.
De la même manière, une marque forte repose sur des fondations solides : sa vision, ses valeurs, sa mission, sa personnalité… Tout ce qui façonne son identité. Avant même de parler d'identité visuelle, c'est là que tout commence.
L'étiquette pour le vin, l'identité visuelle pour la marque
Dans les rayons, chez un caviste ou sur une carte de restaurant, c’est l’étiquette qui attire le regard. Elle évoque une promesse, elle intrigue, elle donne envie. Qui n'a jamais acheté une bouteille juste pour l'étiquette ? Personnellement ça m'arrive.
Pour une marque, l’identité visuelle joue le même rôle. Que ce soit le logo, la palette de couleurs, l'univers typographique ou les différentes éléments de design qui constituent une identité visuelle… Tout doit parler au premier coup d’œil, tout doit éveiller une émotion, avant même de passer à l’achat.
C’est avec l'identité visuelle qu'on construit le premier lien avec la cible.
L'assemblage vs le storytelling
Un bon vin, c’est une composition. Un équilibre subtil entre puissance, finesse, longueur en bouche… Et derrière chaque cuvée, il y a l’histoire d’un vigneron, d’une famille, d’un savoir-faire. Maintenant, imaginez-vous chez le caviste, entrain de chercher la bouteille parfaite pour accompagner le diner de samedi soir. En face de vous, se trouve le caviste, qui se trouve être un grand orateur lorsqu'il s'agit de vous raconter l'histoire d'une bonne bouteille.
Le storytelling d’une marque, c’est pareil. Il s’agit de raconter une histoire cohérente, sincère, capable de créer une connexion émotionnelle forte avec le public. L’assemblage des mots, des valeurs et des émotions fait toute la différence.
Le vieillissement et la cohérence
Les grands vins vieillissent avec élégance. Ils s’affinent, se complexifient, tout en restant fidèles à leur origine.
Une marque doit faire de même : évoluer sans renier son essence. La cohérence est la clé de la longévité. Elle crée la confiance, la reconnaissance, l’attachement de la cible.
Un branding efficace, c’est aussi un branding qui vieillit bien.
En guise de conclusion…
La prochaine que vous dégustez un bon verre de vin, posez-vous cette question :
"Votre marque est-elle un grand cru millésimé ? Ou un vin de table qu'on a tendance à oublier aussitôt consommé ?
Une identité de marque, c'est comme un bon vin, elle doit éveiller les sens, raconter une histoire… et surtout, laisser un souvenir inoubliable.
En tant qu’amateur de vin rouge, je me surprends souvent à faire le parallèle entre deux mondes qui semblent éloignés : le vin et le branding. Et pourtant, plus j’utilise cette comparaison avec mes clients, plus je la trouve naturelle, presque évidente.
Un bon vin, tout comme un bon branding, ne se réalise pas en un jour. Cela demande du temps, de l’intention, de la précision et surtout, une vraie sensibilité. Voici comment je trace le parallèle entre ces deux arts de la composition :
Le terroir ou l'ADN de la marque
Un vin naît de son sol, de son climat, de son cépage. C'est ce qui le rend unique.
De la même manière, une marque forte repose sur des fondations solides : sa vision, ses valeurs, sa mission, sa personnalité… Tout ce qui façonne son identité. Avant même de parler d'identité visuelle, c'est là que tout commence.
L'étiquette pour le vin, l'identité visuelle pour la marque
Dans les rayons, chez un caviste ou sur une carte de restaurant, c’est l’étiquette qui attire le regard. Elle évoque une promesse, elle intrigue, elle donne envie. Qui n'a jamais acheté une bouteille juste pour l'étiquette ? Personnellement ça m'arrive.
Pour une marque, l’identité visuelle joue le même rôle. Que ce soit le logo, la palette de couleurs, l'univers typographique ou les différentes éléments de design qui constituent une identité visuelle… Tout doit parler au premier coup d’œil, tout doit éveiller une émotion, avant même de passer à l’achat.
C’est avec l'identité visuelle qu'on construit le premier lien avec la cible.
L'assemblage vs le storytelling
Un bon vin, c’est une composition. Un équilibre subtil entre puissance, finesse, longueur en bouche… Et derrière chaque cuvée, il y a l’histoire d’un vigneron, d’une famille, d’un savoir-faire. Maintenant, imaginez-vous chez le caviste, entrain de chercher la bouteille parfaite pour accompagner le diner de samedi soir. En face de vous, se trouve le caviste, qui se trouve être un grand orateur lorsqu'il s'agit de vous raconter l'histoire d'une bonne bouteille.
Le storytelling d’une marque, c’est pareil. Il s’agit de raconter une histoire cohérente, sincère, capable de créer une connexion émotionnelle forte avec le public. L’assemblage des mots, des valeurs et des émotions fait toute la différence.
Le vieillissement et la cohérence
Les grands vins vieillissent avec élégance. Ils s’affinent, se complexifient, tout en restant fidèles à leur origine.
Une marque doit faire de même : évoluer sans renier son essence. La cohérence est la clé de la longévité. Elle crée la confiance, la reconnaissance, l’attachement de la cible.
Un branding efficace, c’est aussi un branding qui vieillit bien.
En guise de conclusion…
La prochaine que vous dégustez un bon verre de vin, posez-vous cette question :
"Votre marque est-elle un grand cru millésimé ? Ou un vin de table qu'on a tendance à oublier aussitôt consommé ?
Une identité de marque, c'est comme un bon vin, elle doit éveiller les sens, raconter une histoire… et surtout, laisser un souvenir inoubliable.
En tant qu’amateur de vin rouge, je me surprends souvent à faire le parallèle entre deux mondes qui semblent éloignés : le vin et le branding. Et pourtant, plus j’utilise cette comparaison avec mes clients, plus je la trouve naturelle, presque évidente.
Un bon vin, tout comme un bon branding, ne se réalise pas en un jour. Cela demande du temps, de l’intention, de la précision et surtout, une vraie sensibilité. Voici comment je trace le parallèle entre ces deux arts de la composition :
Le terroir ou l'ADN de la marque
Un vin naît de son sol, de son climat, de son cépage. C'est ce qui le rend unique.
De la même manière, une marque forte repose sur des fondations solides : sa vision, ses valeurs, sa mission, sa personnalité… Tout ce qui façonne son identité. Avant même de parler d'identité visuelle, c'est là que tout commence.
L'étiquette pour le vin, l'identité visuelle pour la marque
Dans les rayons, chez un caviste ou sur une carte de restaurant, c’est l’étiquette qui attire le regard. Elle évoque une promesse, elle intrigue, elle donne envie. Qui n'a jamais acheté une bouteille juste pour l'étiquette ? Personnellement ça m'arrive.
Pour une marque, l’identité visuelle joue le même rôle. Que ce soit le logo, la palette de couleurs, l'univers typographique ou les différentes éléments de design qui constituent une identité visuelle… Tout doit parler au premier coup d’œil, tout doit éveiller une émotion, avant même de passer à l’achat.
C’est avec l'identité visuelle qu'on construit le premier lien avec la cible.
L'assemblage vs le storytelling
Un bon vin, c’est une composition. Un équilibre subtil entre puissance, finesse, longueur en bouche… Et derrière chaque cuvée, il y a l’histoire d’un vigneron, d’une famille, d’un savoir-faire. Maintenant, imaginez-vous chez le caviste, entrain de chercher la bouteille parfaite pour accompagner le diner de samedi soir. En face de vous, se trouve le caviste, qui se trouve être un grand orateur lorsqu'il s'agit de vous raconter l'histoire d'une bonne bouteille.
Le storytelling d’une marque, c’est pareil. Il s’agit de raconter une histoire cohérente, sincère, capable de créer une connexion émotionnelle forte avec le public. L’assemblage des mots, des valeurs et des émotions fait toute la différence.
Le vieillissement et la cohérence
Les grands vins vieillissent avec élégance. Ils s’affinent, se complexifient, tout en restant fidèles à leur origine.
Une marque doit faire de même : évoluer sans renier son essence. La cohérence est la clé de la longévité. Elle crée la confiance, la reconnaissance, l’attachement de la cible.
Un branding efficace, c’est aussi un branding qui vieillit bien.
En guise de conclusion…
La prochaine que vous dégustez un bon verre de vin, posez-vous cette question :
"Votre marque est-elle un grand cru millésimé ? Ou un vin de table qu'on a tendance à oublier aussitôt consommé ?